Intelligence Artificielle : Une Vision étonnante sur notre Avenir !
- Bruno MOULIN-GROLEAU

- 15 juil.
- 3 min de lecture
Dernière mise à jour : 20 juil.

Question contenue dans l’enveloppe scellée : L’intelligence artificielle remplacera-t-elle notre façon de penser, d’apprendre et de décider ?
Passé - Présent :
Dans un premier temps, l’élément central qui émerge est une découverte progressive : un état de fait qui se dessine sans pouvoir encore être démontré. Il y a conviction intérieure mais absence d’outils tangibles pour prouver. Cela évoque le développement de l’intelligence artificielle jusqu’à aujourd’hui : un phénomène qui s’est installé doucement, souvent sous-estimé, perçu comme fascinant, mais pas encore pleinement maîtrisé ni intégré.
Bruno Moulin-Groleau observe une fièvre stagnante, une tension, des déséquilibres, des illusions, des faux-semblants — ce qui traduit l'ambivalence ressentie : fascination et inquiétude mêlées. L’IA fascine mais inquiète par ce qu’elle pourrait remplacer ou altérer.
Il y a une sensation d’immobilisme structurel : on voudrait avancer, mais l’inertie administrative, idéologique ou éducative empêche l’évolution fluide. Bruno ressent une forme d’inadéquation entre la rapidité de l’IA et la lenteur des structures humaines à s’adapter.
Au cours de cette perception, une image marquante s’est imposée : celle d’une matière étrange, presque figée, comme conservée dans du formol. Cela évoque une intelligence figée ou mal canalisée, une substance puissante mais enfermée, difficile à manipuler ou à comprendre. Une forme de connaissance glissante, dérangeante, encore inassimilable pour l’humain, comme si quelque chose d’essentiel nous échappait encore — ou refusait d’être pleinement saisi. Cette sensation renforce l’idée que l’IA, pour le moment, demeure une entité ambivalente : à la fois fascinante et malaisée, entre promesse et trouble.
Présent - Futur :
Un changement se profile. Deux éléments se rapprochent et permettent une avancée fulgurante, là où il n’y avait que lenteur auparavant. Cela évoque :
- La collaboration entre humains et IA ;
- La recherche et l’application concrète ;
- L'innovation et la législation.
En revanche, ce rapprochement n’est possible qu’en abandonnant une idéologie : cela signifie qu’il faudra cesser de voir l’IA comme une menace ou comme un dogme. Une vision trop rigide, trop passionnée ou trop manichéenne empêche la mise en mouvement.
Bruno a vu ensuite une foule impatiente, tendue, comme si la société attendait une réponse claire. Cette foule juge, mais elle ne pardonne pas facilement les erreurs ou les dérives. L’enjeu est donc à la fois collectif et hautement sensible.
Puis vient l’image d’un événement gravé dans la mémoire collective, comme un tournant historique. Cela suggère que l’IA va marquer profondément notre civilisation, et certains moments charnières à venir ne seront jamais oubliés (révolutions éducatives, éthiques, médicales, sociales…).
Enfin, la tragédie est nommée, mais suivie d’une réconciliation par la transparence et la confiance entre deux pôles, ce qui permet une accélération puissante du progrès. Cela montre que si un dialogue réel s’établit entre technologie et humanité, l’IA peut être un levier spectaculaire.
Conclusion :
L’intelligence artificielle ne remplacera pas entièrement notre façon de penser, d’apprendre et de décider, mais elle modifiera profondément notre relation à ces fonctions.
Oui, des transformations massives sont à prévoir.
Oui, des méthodes traditionnelles seront mises de côté.
Cependant, tout cela dépendra de la capacité des humains à structurer ce progrès avec intelligence et discernement.
Le véritable enjeu n’est pas dans la technologie elle-même, mais dans la manière dont nous l’embrassons ou la rejetons.
Si les résistances idéologiques sont dépassées, si la confiance et la transparence s’installent, alors l’IA deviendra une extension précieuse de l’intelligence humaine, non un substitut.
Elle ne remplace pas l’homme, elle révèle ce que l’homme est prêt à déléguer, et ce qu’il veut préserver.
Place maintenant à la séance de clairvoyance pure, réalisée sans connaître la question, par Bruno Moulin-Groleau, voyant médium.



